3 bureaux, 3 continents, 3 fuseaux horaires. Une équipe.
Avec maintenant des bureaux éloignés de plus de 5000 km et répartis entre Montréal, Singapour et Dubaï, l’équipe de GSM Project a élevé l’art de la communication multi-canaux à un niveau inégalé! Petite visite express dans notre organisation…
Chacun de nos bureaux regroupe une diversité d’expertises: producteurs, spécialistes en scénographie, designers, muséologues, professionnels du contenu, graphistes... C’est ce mélange de savoirs qui nous permet de développer des projets aussi exceptionnels que l’observatoire de la tour Burj Khalifa à Dubai, la galerie de l’Alaska au Musée d’Anchorage, ou le Musée National de Singapour.
Les vases communiquants
Chez GSM Project, nous croyons fermement à l’importance du collectif : pour nous, la réussite d’une équipe repose sur la capacité de chacun de ses membres à apporter le meilleur de lui-même. Mais comment faire lorsque l’équipe se répartit entre 3 continents, comme c’est le cas chez GSM? Lorsque c’est possible, nous nous efforçons de favoriser le travail entre les bureaux. Nous adjoignons à l’équipe locale les experts outre-mer dont elle a besoin pour la réussite du projet. Comme l’explique Maude Desjardins, Directrice de contenu : « Une telle structure nous permet d’utiliser les forces de chaque bureau et de se compléter pour livrer le meilleur pour nos clients ».
Et la communication?
Évidemment, notre plus grand défi est de parvenir à effacer la distance et à bien se comprendre pour travailler efficacement. Nos bureaux sont quand même répartis sur 3 continents différents! GSM Project, c’est 120 personnes, qui possèdent au total une trentaine d’expertises et représentent une vingtaine de nationalités différentes. Pour Maude Desjardins, « évidemment, le contact humain reste le plus important pour la cohésion de l’équipe, et il faut être capable d’identifier les moments où il est important de se voir. Mais lorsqu’on travaille avec des équipes distantes, on apprend rapidement à affiner notre pensée pour dire ce qui est essentiel. »
Il faut donc être flexibles, clairs et compréhensifs pour bien travailler ensemble. Serina Tarkhanian, Designer Interactif, explique que « le plus gros défi, c’est la communication. Lorsqu’on travaille dans des fuseaux horaires différents, on a tendance à sous-communiquer, parce qu’on ne veut pas déranger ou parce qu’on trouve que c’est trop. C’est une erreur. Il faut justement sur-communiquer et être créatif dans sa communication : Slack, les messages vocaux, les images… il existe une quantité d’outils qui peuvent aider à mieux se comprendre et à garder le contact ». Dans un projet, donc, le silence n’est pas n’est pas envisageable. Les appels téléphoniques à des heures peu orthodoxes, les innombrables échanges de documents, les multiples explications et clarifications font partie du quotidien. Mais surtout, il faut avoir l’humilité de penser que son expertise seule ne suffit pas pour réussir un projet.
Travailler différemment, ensemble Nous avons développé un fonctionnement de travail hors-norme, dans lequel les horaires sont élastiques. Chez GSM, l’absence physique d’un collègue signifie le plus souvent qu’il travaille dans un autre bureau. Évidemment, ça n’est pas tous les jours facile. Une telle organisation nous demande d’avoir confiance en nos équipes, de comprendre leur réalité, et d’être patient, le temps que le décalage horaire fasse son œuvre. Mais jusqu’à présent, ce mode de fonctionnement nous a plutôt porté bonheur, puisque notre entreprise fête cette année ses 60 ans d’existence.
Pour nous, la valeur du collectif n’est plus à démontrer. L’esprit d’équipe, nous le vivons tous les jours, et c’est lui qui nous permet de nous dépasser pour créer des expériences plus innovantes les unes que les autres.